Éléments pour la construction d'un accumulateur d'énergie orgonale à usage humain

 

Nous allons construire un "accumulateur d'orgone" à usage humain, démontable de sorte à pouvoir être cédé, déménagé, déplacé facilement. On peut lire le livre "Le manuel de l'accumulateur d'orgone" et "L'accumulateur d'orgone et son usage médical".

Il sera donc constitué de 6 cloisons séparées. Chaque cloison sera assemblable aux autres et différentes de autres de sorte qu'il ne puisse y avoir d'ambiguïté lors de son montage.

En allant de l'intérieur vers l'extérieur, chaque cloison est constituée :

  1. d'une tôle d'acier nu ou galvanisé ou d'acier inox de 5/10ème de millimètre ;

  2. d'un cadre de bois fait de tasseaux de 3 x 9 cm ou de 3 x 3 cm fixés à ces tôles par des vis "vba 3 x 30 tête fraisée ou bombée" ;

  3. d'un garnissage alternant couches d'une matière organique et d'une matière minérale ;

  4. qui est enfermé par une plaque fine (6 à 12 mm) d'isorel léger ou de médium léger.

Il est besoin de :

La taille des tôles devrait se faire d'après les dimensions des personnes, mais on adoptera une taille moyenne sous nos tropiques, qui ne présentera d'inconvénient pour quiconque.

Au mieux vous avez besoin :

Dimensions intérieures

Grande taille

Taille moyenne

Petite taille

Hauteur

150 cm

140 cm

130 cm

Largeur

60 cm

55 cm

50 cm

Profondeur

80 cm

70 cm

60 cm

Le choix et la disposition des tasseaux va permettre un montage (ou un démontage) facile par vis de l'ensemble de l'accumulateur.

Les matériaux de garnissage seront de la laine d'acier "triple zéro" et de rembourrage ou molleton acrylique (auprès des marchands de tissus).

On pourra aussi peindre la face "rembourrage" de la tôle par de la cire d'abeille qu'on aura au préalable fait fondre au bain-marie : on applique cette cire comme on appliquerait de la peinture : la cire se colle à la tôle en refroidissant.

De même pour l'isorel ou le médium qu'on pourra "peindre" légèrement de cire d'abeille fondue au bain-marie légèrement diluée d'essence de térébenthine (attention au feu ! essence = essence !), ce qui donne un joli aspect au bois.

Les 6 cloisons ont pour nom : sol ou plafond, arrière, côtés ou flancs et porte. Elles sont quatre fois différentes. L'embase est identique au dessus, les deux flancs sont identiques, la porte est un peu plus courte que le fond.

Le sol reçoit sur ses côtés le fond et les deux flancs ; le fond reçoit sur ses côtés les deux flancs ; le dessus chapote le tout et la porte est fixée sur un des deux flancs par ses charnières.

Après avoir fait découper les tôles à la dimension requise, il faut toutes les percer sur leur pourtour de trous de 3 mm de diamètre espacés de 10 à 15 cm à 1,5 cm du bord sur les quatre côtés (forêts métal de 3 mm, perceuse, martyre de bois pour ne pas percer ce qui ne doit pas être percé : son plancher, sa table, son lit, etc. !°).

Nous sommes alors en présence de 6 tôles dont le pourtour est prêt à accepter d'être vissé sur des cadres de bois.

On fixera par des vis (vba 3 x 30) sur tout le pourtour de l'arrière et de la porte un cadre de tasseaux (3 x 4 cm à plat) de sorte que ces derniers ne dépassent pas de la surface de la tôle mais en suive exactement le périmètre (visseuse, vis).

Pour les deux flancs, on vissera la tôle sur un cadre de tasseaux de 3 x 4 cm à plat sur trois côtés seulement tandis que une des dimensions la plus longue de cette tôle recevra un tasseau de 3 x 7 cm qui le dépassera de 3 cm en débord (visseuse, vis).

Pour l'embase et le dessus, on fixera la tôle sur un cadre de tasseaux de 3 x 7 cm sur trois de leurs côtés avec un débord de 3 cm laissant sur un des côtés le plus étroit la fixation d'un tasseau de 3 x 3 cm sans débord (visseuse, vis). Le fond recevra le renfort d'une plaque d'isorel ou de médium sous la tôle d'acier.

Sur chaque panneau au niveau des bois qui dépasse de la tôle, on percera des trous traversant, fraisés du côté opposé à la tôle, de 5 mm de diamètre à 1,5 cm du bord au nombre de trois à quatre par côté (perceuse, forêt bois de 4 mm, fraise à 110°).

On retourne ces cadres et on en garnit l'espace creux de trois à cinq couches alternant laine d'acier et fibre acrylique (ce qui donne, en tout, six à dix couches de matériaux). Rien ne doit être compressé, la laine d'acier est déposée de sorte à voir en transparence la couche inférieure de fibre acrylique et le tout doit rester stable une fois le panneau mis à la verticale.

On clôt chaque panneau d'une plaque d'isorel mou ou de médium léger (ces matériaux, au nom commercial, ne contiennent pas de produits nocifs), dont les dimensions recouvrent entièrement le cadre de bois, par des vis vba de 3 x 30 après y avoir fait des avant-trous fraisés de 3 mm.

Cloison

Dimension de l'isorel mou ou du médium léger

Embase et plafond

61 x 73

Arrière

55 x 140

Flancs

73 x 140

Porte

55 x 130

Note : on peut y ajouter l'épaisseur des plaques (6 à 12 mm) de sorte à obtenir un joli recouvrement.

Nous disposons maintenant de six éléments suffisamment rigides pour être manipulés, stockés ou pour que notre accumulateur puisse être monté !

On fixe par des vis de 5 x 50 ou des tirefonds avec rondelle large de 4 x 55, d'abord un flanc sur l'arrière (voir méthode point 1). On retourne : on fixe l'autre flanc sur l'arrière (voir méthode point 2), les côtés aux bois arasant en regard serviront à fixer la porte plus tard. L'assemblage dans la première position, on fixe un côté, dont les avant-trous sont disponibles, sur l'arrière. On retourne le tout et on fixe l'autre côté de la même manière. Fixation ensuite du dessus et de l'embase. Nous avons alors une caisse solide dont le côté ouvert recevra la porte fixée par deux charnières en la disposant de sorte qu'un jour de cinq centimètres, tant en haut qu'en bas, soit béant (aération de l'ensemble).

Je propose de fixer sous l'embase quatre pieds courts de bois pour que l'accumulateur ne repose pas à même le sol, et l'affaire est jouée. Il est possible de disposer une lampe de 20 watt (halogène ou autre) alimentée uniquement par batterie en courant continu exempt de courant alternatif pour pouvoir lire ou écrire ou rêver ! Et lors de son abandon d'usage, il est recommandé de laissé un bol d'eau (pour un absorption de l'orgone stagnant, qui est nocif pour le vivant à sang chaud) posé sur le siège de bois ou sur le fond, bol dont on changera assez souvent l'eau et qui sera sorti lors des irradiations.

Je vous recommande fortement de prendre des notes relatives à vos expositions à l’orgone (ouvrez un cahier à cet effet). Notez les effets ressentis (nuls ou non), l’heure, le jour, la phase lunaire, le temps qu’il fait et la qualité de l’air environnant. Et surtout, les idées qui vous passent par la tête !

Le reste court les rues.