Comment confectionner un coussin à orgone.

La laine de fer

Exemple pour le molleton acrylique ou ouaté polyester en 150 ou 200 gr/m

Je crois que le plus difficile est de trouver ce plastique qui sert de poche d’emballage à légumes, sans poignées, dans les supermarché. Il doit être le plus FIN possible et (j’ai essayé), pas de ce pseudo-plastique composé à base de maïs : trop épais et « inerte », je dirais.

Ces poches font environ 30 x 25 cm, ce qui fait qu’une fois ouvertes sur le côté le plus court, étendues, elles font environ 60 x 25 cm, ce qui est largement suffisant. Faire plus grand demande d’autres matières et pour une efficacité identique. Cela recouvre le torse, et si cela recouvre le torse, ça recouvre n’importe quelle partie du corps. Comme la législation sur les plastiques a changée, il faudra un peu chercher. Sinon, on prend ce qui a : le plus fin possible.

Ensuite, il faut trouver ce sparadrap qui est une sorte de papier collant, soit un supermarché (Auchan et Mousquetaires) soit en pharmacie : on dit « Je voudrais du sparadrap en papier, svp ». Bien.

Il y a une astuce à laquelle il faut s’habituer auparavant : il faut s’exercer une fois ou deux à coller le sparadrap sur ce plastique très très fin... ce qui n’est pas évident. Alors on prend une bande de sparadrap plus longue que la largeur du plastique, qu’on pose rectiligne, le côté collant en HAUT. On présente le plastique et on ajuste la position à l'œil avant de le plaquer sur la moitié de la bande collante. Ça s’apprend facilement. Ensuite on pose la feuille plastique qu'on veut réunir sur le côté non encollé du précédent plastique, la partie qu’on veut rejoindre et on plie la demi bande libre sur elle (travail manuel => apprentissage => expérience).

Alors je prépare le coussin proprement dit. Il fera la dimension étalée de la feuille de plastique moins 5 cm environ pour éviter vide ou pli une fois dans la poche.

J’étale sur une table une *double* couche de ouaté. J’étale sur ce ouaté une couche de laine de fer. Je l'étire en largeur un peu... il faut à peine voir le ouaté. Ce n’est pas la quantité qui compte, c’est la respiration. La ouate attire l’orgone et le retient, tendis que la laine de fer attire l’orgone et le rejette aussi. Le fer agit comme un anti-retour, donc s’il très est épais, cela ne changera pas beaucoup. Mais la quantité attiré par la ouate sera plus importante si elle est plus épaisse, avec une limite. C’est pour cela que je commence par une double couche de ouaté.

Ensuite je découpe à nouveau du ouaté pour l’appliquer sur la laine de fer. Rien ne dépasse.

Je pose une autre couche de laine de fer, mais perpendiculairement à la première. Pourquoi ? Je sais pas.

Une autre couche de ouaté.

Pour finir (c'est la troisième et dernière couche ouaté-laine de fer), je pose deux couches de laine de fer, étirée pour l’air, et croisées perpendiculairement.

Avec deux poches ouvertes, je confectionne une grande poche de 50 par 25, sur trois côtés, les deux longs et un petit : le quatrième sera fermé ensuite. Faut apprendre à maîtriser le sparadrap et le "fluide" du plastique très fin, mais une fois la technique acquise, c’est facile. J’introduis ma confection par le côté ouvert en étalant bien et je ferme la poche avec du sparadrap : le sparadrap allongé côté collant en haut, j’approche avec précaution mon assemblage sur la moitié de la bande et je replie la bande sur la face en haut du coussin pour le clore.

Important, je casse les quatre coins avec une paire de ciseaux : ça donne encore de l’aire et surtout, le coussin n’est pas un ballon ! il ne risque pas d'éclater.

Tout de suite, je frotte légèrement la partie fer (gris) et la porte à quelques centimètres de ma joue : ça chauffe ! C’est que c’est bon. Je l’utilise tel quel, toujours la face grise vers la peau (à l’envers ça marche aussi, mais moins vif : il faut penser qu’entre vous et cet outil, il se crée un champ orgonal. Comme pour l’accumulateur, autour du coussin, il y a un petit champ d’énergie d’orgone qu’on peut sentir avec la joue ou le dessus de la main, ou encore, après s’être frotté la paume des mains, avec les paumes) C'est pour cela que je le stocke toujours face grise à l’air et la face blanche (ouaté) comme repos, assez éloigné d’une source d’ondes électromagnétiques ou d’un câble de courant.

Je m’en sers pour tout. Entorse, brûlure (mettre un petit truc pour qu’il ne touche pas la peau directement), fatigue, rhum, piqures, etc.

L’irradiation est comprise entre 10 et 20 minutes. En fait, je sens mes pulsations cardiaques dans l’endroit irradié. J’attends cinq minutes de plus et c’est suffisant. Pour les grandes douleurs pénibles, on peut l’utiliser trois fois par jour.

On parle quelque fois de palpitations, mais personnellement, ni moi ni le petit entourage n’y a eu à faire. Pas besoin non plus de coussins de dessous : mes coussins peu chers, sont forts. James DeMeo que j'ai accueilli ici ne l'a pas contredit, en faisant : Ha !

En cas de *surcharge* (nausées), si on en a la possibilité immédiate, on va sous la douche chaude et on laisse l’eau couler. Pas de douche ? Eau froide sur le visage et les *doigts* des mains sous l’eau courante tempérée (les doigts sont nos antennes, à nous). Boire un peu d’eau fraîche.