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Les méandres de la cuirasse jeune

ou la naissance du chef

Loin de moi, ici, de faire la morale à quiconque, mais plutôt de faire de la morale ; par les temps qui courent, rare est cette denrée que de comprendre la morale d'une culture.

Je vais montrer que les circonvolutions de l'énergie partant à la recherche d'un plaisir, de sa satisfaction, peuvent être repérées, cartographiées et cataloguées, et peut-être même le sont ; et aussi l'origine, le point de départ de ces pérégrinations. Avec un peu d'attention sur soi, on comprend vite les modalités d'évitement du péché, comme disent les curés, pour qui la chair est faible alors qu'elle est très puissante, bien évidemment. Le désir est énonciateur de désir de plaisir, c'est-à-dire la matérialité du plaisir en processus. Même dans la complicité, le respect de l'autre est de rigueur, toujours. Si pour un curé, un imam, un rabbin, un patron, un psy, etc., en bref un chef, la chair est faible, c'est parce qu'ils ont, eux, des difficultés à ne pas y répondre car d'y répondre correspond pour eux à une faiblesse, qui n'est que leur faiblesse d'abandon, moralement renversée en puissance de la retenue ; l'inverse est aussi valable : la puissance qu'ils développent dans leur retenue ne dénonce finalement que la faiblesse de leur abandon à leur désir d'amour, de communiquer avec l'autre. Et de telles personnes veulent qu'on leur ressemble, pire : imposent qu'on leur ressemble. Ces pérégrinations sont donc des souffrances pour elles et pour ceux à qui elles les infligent : corrélativement, ici, sont cartographiées, repérées et cataloguées les souffrances occasionnées par la retenue excessive des sensations vitales (génitales, aussi bien que pulmonaires, hépatiques, musculaires, cérébrales, etc.).

Ce que j'ai découvert est qu'un organe entre de toutes façons dans le cycle de la fonction de l'orgasme, car la fonction de l'orgasme est un processus vital, issu de la vie et expression de la vitalité ; que la vie ne s'exprime que par ce processus. Il peut s'agir d'un organe ou d'un groupe d'organes, de muscles ou du corps dans son ensemble ou de l'ensemble de deux corps. De toutes façons. Et le premier temps de cette fonction organique de la vie est le temps de la tension.

Le premier apprentissage, dans le sens de dressage, sera donc d'apprendre au corps qui est né avec cette capacité, à ne pouvoir pas soutenir la tension de l'amour, la tension vitale qui lui est propre et inévitable, pour ne pas entrer dans le processus de la fonction de l'orgasme.

Et dans cette pulsation de la vie, c'est-à-dire qui nous vient de la vie, du cosmos, cosmique, qui se tend pour se charger et perdre cette charge dans le mouvement convulsif inconscient pour retourner à la détente car elle s'est déchargée de la tension excessive que la vie lui a pourvue en excédent pour fait de vie, car la vie ne peut vivre que par l'excédent, cette pulsation, dis-je, s'entame de toutes façons dans son processus. Cette tension est ce qu'on appelle le désir, qui est le désir de l'autre, de rencontrer l'autre et\ou de s'y mélanger car on répond au processus de cette manière et, dans le cadre de l'expression amoureuse, le processus implique cette manière d'y répondre car c'est sa manière de procéder. Lorsque le désir persiste dans un corps assez libre, le corps lui-même trouvera le moyen d'entrer se perdre dans le processus, sans violence. Mais dans un corps un peu moins libre, la tension ne trouvera pas de moyen de se résoudre et l'organe restera tendu, il tirera à soi toute l'énergie, ou une grande part, et ce faisant se fera le centre du corps, le chef.

Mais le problème principal posé et advenu, il en arrive un autre qui en est la conséquence inévitable : se défaire de cette tension tendue de manière figée. Grave problème car LÀ nous rentrons dans un pur processus mécanique, c'est-à-dire d'équivalence de quantité : il va falloir s'agir de se défaire de cette tension qui est passée du stade de qualité (désir) au stade de quantité (accumulation excessive), quantité qui ne cesse d'augmenter jusqu'à se manifester, d'elle-même, sans plus de relation avec sa qualité première qui est encore l'apanage de l'acte conscient. Et, problématiquement, il faut revenir à la qualité pour que le processus reprenne son rythme original. Le premier argument, donc, est de ne pas rentrer dans le stade quantitatif de la vie tendue spasmodiquement, comme le Capital, par exemple. Voyez Summerhill, s'il vous plaît, pour ce qui regarde de l'auto-régulation.

L'énergie se déchargera alors sous forme de spasmes : le chef est le régisseur de la décharge spasmodique, hors de la conscience volontaire d'entrer dans son processus, sans perte de conscience unitaire, à cette exception près de la décharge épileptique, qui est souvent le privilège vénéré des "grands leaders religieux", encore décharge asexuée, ou sous forme d'urine. La décharge spasmodique permet une sorte perte de conscience mais qui reste éveillée, métampsychotique, hypnotique, séparée des convultions musculaires typiques de la décharge du système neurovégétatif, duquel, je le rappelle, le sytème nerveux central est une spécialisation, gracieuse certes, mais spécialisation tout de même.

En conséquence, la morale du chef sera la retenue. C'est le chef qui dira que je suis une bête qui n'obéit qu'à ses instincts primaires. Il n'a pas tort, sinon que dans l'intention qu'il donne à ces mots, car une bête est loin d'être aussi violente que lui, aussi acerbe que lui, aussi destructrice que lui, aussi dépourvue d'attention pour ses semblables que lui, aussi peu câline que lui, aussi vide de considération pour son environnement que lui ... en obéissant à ses instincts primaires. Mais il a tant fait, de sorte que tout soit le reflet de sa propre manière de faire dans le monde, que tout est aussi violent, acerbe, destructeur, dépourvu d'attention pour ses semblables, peu enclin au câlin et vide d'attention pour son environnement que lui ; qu'il n'y a de preuve sur ce que j'avance nulle part qu'en dehors de ce bourbier de la retenue arrivée au stade quantitatif : faire un petit tour en dehors de l'ordre du quantitatif est une véritable aventure, et la seule qui soit en ce moment qui vaille d'être vécue humainement : comparé à cela, le globe en solitaire, ou un pas sur mars, c'est du bouilliboulaga.

Cependant, beaucoup déjà ont entamé cette aventure, et peu en sont revenus satisfaits. Moi-même j'ai dû réviser la mire de mon attente. Alors je suis retourné dans ma grotte, j'ai marché dans la rue, enfin ... dans l'auto-rue sur les crottoirs réservés aux piétons, j'ai bu du vin, j'ai aimé et j'ai un peu réfléchi. Alors.

Un chef c'est quoi ? Un chef c'est un leader raidi. Il faut revenir sérieusement sur le concept de leader : comment dire ... l'existence même des présents animateurs radio faiseurs d'opinions publiques, des politiciens, des chefs de tous poils, etc. Sérieusement, c'est-à-dire aussi sur la notion animale de "organisation des énergies". Un petit livre, assez incomplet somme toute, sur ce qui se passe dans les cours d'école, montre bien qu'être leader est être coordinateur d'événements dont le but est le plaisir commun pour cause de dispositions naturelles, car on est le meilleur coordinateur d'événements des autres et que ce sont les autres qui vous le concèdent. Le chef, lui, est un leader à vie, sclérosé, coagulé, car il est bien montré aussi dans ce petit livre, qu'être leader fatigue, affectivement, et que c'est aussi cette fatigue qui permet la rotation des tâches. Le chef, lui, refuse la rotation des tâches, la délégation des responsabilités, sinon que pour consolider son pouvoir, c'est à dire, encore, le pouvoir qui lui a été concédé, un moment, comme coordinateur des événements, moment dont il ne peut admettre la fugacité car il n'est déjà plus leader mais chef, un simple ordinateur d'événements, car comme dans tout ce qui est figé, "tout ce qui était directement vécu s'est éloigné dans une représentation". Il est normal que le leader accapare les affections, puisque c'est pour cela qu'il est leader. Être leader implique un pouvoir, mais ce pouvoir est un pouvoir de coordination des affections, et leur régulation. Et les déléguants de ce pouvoir, ceux qui élisent leur leader savent que d'être leader fatigue : il ne s'agit donc pas d'être leader à la place du leader, mais de prendre son relais, car le précédent leader a permis le développement des qualités adéquates à une autre personne pour lui permettre de lui prendre la place. C'est cela la vie fluide. Il en va du leader et du chef comme du job (ce que j'appelle "job" correspond assez bien à "l'éthique hacker") comparé au travail, ou encore comme de cette tâche qu'on s'est donnée soi de réaliser librement, sans contrainte autre que les règles que cette tâche implique, dans la considération de son environnement, comparée à ce labeur qui est de passer son temps à l'exécution (guillotiner ?) d'une tâche qu'un autre vous a donnée sans autre assentiment qu'une fiche de paie, sans considération pour son environnement qui est biologique, social et affectif tout comme soi, lorsqu'on ne l'a pas oublié dans le salariat ou l'esclavage volontaire.

Le premier acte du chef est de pourvoir à son pouvoir et cela ne peut se faire toujours que par un mensonge : celui du leader raidi par le pouvoir, et pour cela tous les moyens sont pires, bien évidemment. Il faut expliquer aux gens qui sont fluides, parfois jusqu'à l'inconsistance, cette dialectique du mouvement qu'on empêche, qui est le procédé même de l'auto-organisation de l'existence humaine, que le chef est le reflet du leader et qu'ils doivent briser ce miroir de la réelle stupidification des êtres qu'il représente.

Un chef est un leader sclérosé, dont la compétence s'est rigidifiée en autorité péremptoire dans laquelle de moins compétents, mais jaloux et nostalgiques encore de la vie libre du leader, des petits chefs y voient le reflet d'eux-mêmes qu'ils admirent en bavant pour y trouver la justification de son maintien, de leur pouvoir et de l'écrasement de la liberté des gens libres, c'est-à-dire émotivement libres. Les petits chefs mirent dans le spectacle de leur possible, et par l'organisation de ce spectacle, leur propre fuite devant la profondeur de leurs émotions qu'ils ne peuvent supporter chez d'autres qui les vivent directement. Sans qu'un chef soit par fonction un dictateur, ce sera souvent le nombre de ses sbires qui le poussera à le devenir. Mais aussi un chef comprend que pour se maintenir dans son pouvoir sur ces seuls sbires, il lui faut répondre à leur demande qui consiste à diminuer, par élimination quantitative et conséquemment par sauts qualitatifs, ces émotions vives qu'ils ne peuvent davantage exprimer ou accepter, sinon que secondairement : dans la haine de l'amour. Que ce soit un leader-chef d'un parti d'extrême droite, ou même d'extrême gauche, ou moins violemment de gôche ou de droite, ou un ministre de l'Intérieur qui revendique davantage de lieux de cultes, le fondement de leur pouvoir est : la peur de la vive émotion, fut-elle de plaisir, alors ressentie comme insupportable. Il y aura donc une organisation sociale tournée autour de la régulation de cette énergie endiguée sous la forme de ce que les journalistes nomment des "grand'messes" (football, meetings, sport, etc.) dans lesquelles une énergie commune pourra alors s'exprimer dans la stricte liberté et la chaleur du nombre, c'est-à-dire quasiment sans liberté ou identité individuelle, dont l'objectif est au moins double : décharger effectivement une partie de cette énergie endiguée et attacher la personne à qui permet cette décharge incomplète, spasmodique. C'est effectivement "bestial" comme procédé, mais qui a oublié que nous sommes des bêtes ? Humm ? Certainement pas ce genre d'organisations qui ne voient dans la bête humaine que le mot "bête" après y avoir oublié le mot "humain". Dans le chef, il y a cette contradiction entre ce qu'il désire et qu'il ressent comme légitime et ce qu'il est obligé de dépassé en lui-même (et qui doit le dégoûter autant qu'à moi) mais qu'il doit admettre pour rester chef ; c'est bien désolant, car si il sait qu'il y perd sa liberté, ou celle dont il est capable, il perd aussi son âme qu'il vend au diable du pouvoir qui sursoit à la piètre opinion qu'il a de lui-même (qu'il a acquise antérieurement contre sa volonté), qu'il n'a pas su guérir à cause de cette facilité même que procure le pouvoir de l'oublier.

À la différence du chef, le leader orientera les plaisirs, dans la mesure du possible, loin des turpitudes, des marasmes, des embourbements, où il n'y a rien qui vaille d'être expérimenté plus longtemps de la généralité du temps présent : c'est du "déjà vu". Il y a cependant ce hic du présent qui est chargé de chéfitude comme l'air d'humidité dans un brouillard. La solution reste nos enfants qui ne doivent rien connaître de la résignation.

Voici donc, ci-dessous, les différentes étapes, et leurs émotions correspondantes, de la complexité des méandres du caractère rigide qui sont l'évitement à l'abandon amoureux. Il ne faut pas oublier que j'établis cette liste en sachant que la plupart du temps, il ne s'agit pas de choix qu'on a adopté mais d'orientation contrainte ; sachant cela, on devrait éviter d'à son tour contraindre l'orientation vers les méandres, la pensée spéculative, le mésamour chez les nouveaux-nés et les enfants, vers l'évitement de la joie de vivre, et construire même des dispositions (genre Summerhill) pour que nous ne puissions pas imposer ces contraintes en faisant confiance à la vie chez ces enfants, nos petits humains. Il faut parler de personnes concernées à personnes concernées, sans autre intermédiaire, et que les prises de décisions soient réellement collectives : il n'y a que pour un chef que cela paraît impossible !

Tout autant, il faut bien se dire que chacun de ces comportements est le résultat de permissions sociales, de ce que la société du quantitatif autorise, un compromis qui, bien qu'en pire pour la personne, est en mieux pour la société qui "gère" ce genre de problème à la louche, à la prison et aux psychotropes, entre ce que l'on est soi capable et ce qu'on peut en faire dans le monde où on vit. Et comme c'est cette société qui nous nourrit ... elle ne perd rien.

Je confesse que j'aurais pu pousser plus loin l'organisation des structures que je décris, ou que j'ai travaillé à l'ébauchoir : je suis paresseux.

Méandres de la cuirasse jeune :

Principalement lors de la puberté, on se doit de trouver les moyens pour

  • a) ne pas les sentir avec plaisir, mais comme une gêne, quelque chose de dérangeant ;
  • b) ne pas les sentir du tout (ce qui est difficile, mais on y arrive aux frais de nombreuses souffrances) ;
  • c) ne pas les sentir avec douleur (car, à les sentir, sentons les dans l'indifférence) ;
  • d) ne plus les sentir (il fut un temps, jadis, où, dans le paradis, ...)
  • e) en sentir l'agréable présence, ce qui apporte, somme toute, le moins de désagréments pour soi car cette sensation est intégrée dans la sensation générale de la vie, une partie d'un tout indissociable, mais pose des problèmes pour l'entourage, alors même (et peut-être à cause de cela) qu'on n'en fait rien d'ostentatoire.
  • Je parle bien sûr de ses propres organes génitaux, c'est-à-dire de ce que l'on reconnaît, ou plus, comme source de satisfaction vitale.

    Ensuite il y a les moyens d'y répondre par

  • a) l'abandon
  • b) la modulation
  • c) le report
  • d) la dénégation
  • et régir la difficulté de leur intensité par la maîtrise de

  • a) leur déroutement
  • b) leur détournement
  • c) leur retournement
  • d) leur intensification
  • c'est-à-dire des manières

  • a) de s'en sentir responsable
  • b) de s'en déresponsabiliser
  • c) d'en rendre autrui responsable
  • d) d'en rendre responsable un événement ou un élément interne ou externe
  • e) de s'en séparer par dissociation
  • f) de le partager aussi
  • De là les attitudes qui veulent montrer

  • a) qu'il n'en est rien, de tout cela, ou si peu
  • b) qu'il en est bien tout au contraire, ou tout à fait, ou seulement un peu
  • c) qu'on s'en moque, que ce n'est pas si important
  • d) ou que cela n'a pas (toute) l'importance qu'on lui accorde
  • e) qu'il est bien dommage qu'il en soit ainsi
  • f) de n'en rien faire paraître
  • g) qu'il est inconvenant d'en faire paraître ou d'en dire quoi que ce soit
  • L'attitude consiste donc à

  • a) se prémunir d'une sollicitation extérieure ou intérieure
  • b) faire en sorte de se le rappeler à tout moment
  • c) le rappeler tout le temps à son entourage
  • d) dominer son entourage en cas de manifestation intempestive d'une émotion directement en relation avec les organes génitaux
  • e) n'en faire cas qu'au moment opportun
  • À cela s'ajoute le DEVOIR de dépenser l'énergie excessive ou excédentaire sous la forme de

  • a) la RAGE
  • b) la passivité, qui est de la rage contenue, car on ne sait quoi en faire
  • c) le dédain, qui est de la rage intellectuelle introvertie
  • d) l'excessivité, qui est un prétexte d'exprimer sa rage par la réaction jugée inopportune à autrui de n'avoir pas pu la dépenser autrement et avec un plaisir légitime
  • b) de ne savoir quoi faire de cette énergie encombrante qui explosette de partout
  • c) de ne savoir quoi faire de cette énergie qui ne prend pas la forme qu'on voudrait lui voir prendre
  • d) de voir qu'on ne peut réprimer ou maîtriser la forme qu'elle prend
  • On ne s'exprime finalement à autrui que selon les modalités que l'on a adoptées pour ne pas trop éveiller d'émotions chez soi, vis-à-vis de sa sensation d'organe (ce qui revient à dire - j'espère que ce n'est pas là un absolu - qu'on considère ses organes génitaux comme des étrangers). Dans ces conditions, la relation à l'autre a pour base essentielle un minimum d'excitation. Non pas qu'il s'agisse d'être toujours en excitation -- j'ai entendu le poulailler se réveiller au mot 'excitation' -- mais quelle peut être cette relation lorsqu'on la vit au niveau d'un minimum ? Et la transmission de la culture à l'enfant est bien de rester tranquille, sans bouger, dans sa relation à la vie et aux autres. Non ? Et les bancs de l'école ?

    La musique est un rapport sensuel au monde, qu'on l'écoute ou qu'on la fasse. On y répond selon sa propre sensualité, c'est à dire suivant la manière avec laquelle on ressent ses organes génitaux (en rappelant que la personne qui les ressent comme agréables, n'y porte pas davantage d'intérêt, car ils sont intégrés à sa vie comme partie d'un tout indissociable). Les goûts musicaux sont des manières en particulier et y correspondent.

    Je le répète, donc, toutes nos réactions sont correspondantes à la manière dont on ressent ses propres organes génitaux, c'est-à-dire l'excitation qu'ils provoquent, et qu'ils procurent, ainsi que la résolution qu'on donne à leur tension. Car TOUS les autres sens leurs sont directement liés : les yeux à la beauté (ou la laideur conditionnée par le caractère), la peur qu'évoque la vivacité, l'intelligence, etc. Il n'y a qu'à voir comment réagit un religieux, surtout mutilé, circoncis, à la moindre évocation du plaisir, qui est avec raison, primordialement génital !!!